Press Archive
2015-02-27, NDR Kultur
Jaroussky demonstriert mit dem Album seine beeindruckende Wandlungsfähigkeit und überrascht den Hörer auch mit Ausflügen ins leichte Repertoire. Die Lyrik von Verlaine hat nicht nur klassische Komponisten fasziniert, sondern auch Chansonniers wie Leo Ferré und George Brassens
Source/Read more: Ndr.de
2015-02-27, Donaukurier
Dann haben Sie ja noch einiges vor sich, oder?
Jaroussky: Natürlich werden die Alte und die Neue Musik für Countertenöre weiterhin das zentrale Repertoire sein. Aber ich bin davon überzeugt, dass heute Countertenöre darüber hinaus Weiteres erschließen müssen – auch ein Repertoire wie auf dem „Green“-Album. Für meine Stimme eignen sich übrigens auch die „Kindertotenlieder“ von Mahler, zwei oder drei habe ich bereits gesungen.
There’s a lot yet to be done then, isn’t it?
Jaroussky: Of course, early and new music will continue to be the core of the countertenor repertoire. I am convinced, however, that today, countertenors have to explore further – which includes a repertoire like the one on “Green.” By the way, the “Kindertotenlieder” by Mahler also suit my voice, two or three I have even sung already.
Source/Read more: Donaukurier (paid content)
The following is not a professional translation; no profit is being made, no infringement of copyright is intended.
Pastel-Coloured Feelings
Ingolstadt (DK) He is one of the great countertenors of our time. On Thursday, Philippe Jaroussky performs at the Ingolstädter Festsaal, introducing his latest album “Green.” For this, the Frenchman has compiled different settings of Verlaine’s poems that were created around 1900 – amongst others, by Gabriel Fauré or Claude Debussy. Jaroussky comes to Ingolstadt along with his pianist Jérôme Ducros, to capture the sound-sensual atmosphere of the French “Fin de Siècle.
Mr Jaroussky, you are a countertenor. So why do you sing settings to music of Verlaine’s poems, created around 1900?
Philippe Jaroussky: Because, on one hand, I want to show that it is perfectly possible for an opera singer to give recitals. On the other hand, I feel very attracted by the settings to music of Verlaine and French song. In opera – more so, in Baroque, which is obviously the center piece for us countertenors – you have to give shape to hysterical feelings sometimes. You kill, you are jealous, insidious. At some very dramatic moments, I reach my limits. Whereas in French song, I have to express more pastel-coloured feelings, a lot of melancholia, just to name one. It might sound strange as a countertenor, but I feel at home in this repertoire.
2015-02-26, operamagazine.nl (Piacer de l’Opera)
De cd is echt een hebbeding. Niet in de laatste plaats ook vanwege het omhulsel. In het doosje vind je behalve de twee schitterende cd’s ook een dik boek met liedteksten, veel informatie en tientallen sfeerfoto’s van de componisten en de dichter.
Source/Read more: Opera Magazine
2015-02-26, Forum Opéra
Son ambiguïté est décadence, au sens le plus précieux du terme, sans qu’aucune affectation ne vienne en pervertir la sincérité. Au contraire, si paradoxal que cela puisse paraître, le naturel prédomine : naturel de la diction dans sa volonté de rendre compréhensible chaque phonème et, au delà de la compréhension, donner à percevoir la signification de chaque mot ; naturel de l’interprétation qui, à l’instar de Brassens et Ferré, essaye de débarrasser ces vers de leur empois poétique, de les rendre les plus proches possible du langage parlé ; naturel faisant la plupart de ces mélodies, non pas pièces de salon souffreteuses, mais chansons que l’on se surprend à fredonner comme un air à la mode.
Source/Read more: Forum Opéra
2015-02-25, Forum Opéra
“Apparemment, l’exploration de la mélodie française – on lira demain ici le compte rendu de son disque Green – ne suffit plus à Philippe Jaroussky pour échapper au répertoire baroque. En mars 2016 à Amsterdam, il créera un opéra de chambre de Kaija Saariaho, Only the Sound Remains ; bizarrement, ce vers d’Edward Thomas a déjà servi de titre à plusieurs œuvres contemporaines, en 2007 pour le compositeur iranien Amir Mahyar Tafreshipour, et en 2010 pour le Britannique Howard Skempton”…
Source: Forum Opéra
2015-02-24, El Plural
Philippe Jaroussky, que se define a sí mismo como contratenor, publica uno de los discos con los que, según él “más ha disfrutado” tanto en la búsqueda de repertorio como en la interpretación y grabación del mismo. “Green” es un merecido homenaje a la canción francesa y a uno de los poetas que más le han inspirado; Paul Verlaine (1844-96) pionero francés de los movimientos decadentes y un icono del Art poétique del siglo XIX
Source/Read more: El Plural
2015-02-23, music-story.com (Music Story)
L’auteur de l’Art poétique, qui vantait « de la musique avant toute chose », a fréquemment inspiré les compositeurs classiques ou modernes, de Fauré à Ferré comme l’annonce le slogan d’accroche de Green : Mélodies Françaises sur des Poèmes de Verlaine. Cela n’est que justice en vertu du rythme de sa versification, de la sonorité de ses mots. À commencer par Claude Debussy dont neuf mélodies irradient l’ouvrage, notamment les trois airs du premier livre des Fêtes galantes (« En sourdine », « Fantoches » et « Clair de lune »), interprétés avec une sensibilité éblouissante.
Source/Read more: Music Story
2015-02-23, France 2, Vivement dimanche
Il chante « Colloque sentimental », un poème de Verlaine sur une musique de Léo Ferré, accompagné par Jérôme Ducros au piano et par le Quatuor Ebène, extrait de son dernier album « Green » consacré au poète Paul Verlaine : 19 poèmes de Verlaine, mis en musique.
Source: France 2 (edit, 06 Sept 2015: offline)
2015-02-23, Fnac
Green est autant un riche travail de recherche qu’un très agréable moment de musique de chambre, nous faisant découvrir plusieurs petites merveilles.
Source/Read more: Fnac
2015-02-23, La Libération
Jaroussky, mi-désinvolte, mi-concentré, lui, frôle l’opérette (Qui je suis…, Chabrier), touche les tréfonds (Prison, Fauré) et jette, brillantissime, un voile imperceptible sur la dernière syllabe du «monotone», celui de la langueur (Chanson d’automne, Hahn).
Source/Read more: Libération
