2015-07-20_03 featured press

Les InRocks – Aix en Provence: Les plaisirs d’une “Alcina” d’anthologie

2015-07-17 by Patrick Sourd
Quant il ne s’agit pas d’un cunnilingus qui dans cette ambiance de folie semble aller de soi -même dans les rangs d’un public, lui aussi ensorcelé où l’on entendrait une simple mouche voler – alors que Patricia Petibon accueille entre ses cuisses son amant Ruggerio (Philippe Jaroussky) pour atteindre le septième ciel.

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2015-07-14 featured press

Le blog du Wanderer – Festival d’Aix en Provence 2015: Alcina de G. F. Haendel le 10 Juillet 2015

2015-07-14, Le blog du Wanderer

Philippe Jaroussky promène son extraordinaire facilité vocale, se jouant des agilités et des autres difficultés du rôle. Mais scéniquement, il n’entre pas vraiment dans le personnage : certes il est un homme-objet au départ et la mise en scène lui demande une certaine passivité, mais lorsque ses amis lui apportent ses habits de soldat et de héros (en réalité un habit d’officier et non d’intervention comme Melisso), il n’en fait pas plus et reste plutôt apathique en scène. Entre une Bradamante énergique et une Alcina passionnée, il reste un peu prostré, peut-être paralysé par ces femmes exigeantes.

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2015-07-12_02 featured press

Forum Opéra – Ruggiero, fais-moi mal

2015-07-12, Forum Opéra, by Laurent Bury

Philippe Jaroussky bénéficie en Ruggiero d’un rôle principalement axé sur la douceur, ce qui lui convient à merveille, avec un fort beau « Verdi prati » (mais quelle étrange idée, sur cet air, de faire danser un slow à Bradamante et Morgana) ; scéniquement, on l’a dit, l’antihéros n’est pas gâté, mais la mise en scène « féministe » – dixit Katie Mitchell – le veut dépassé par les événements. Dans ces conditions,

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2015-07-12 featured press

GBOpera magazine – Festival d’Aix-en-Provence 2015: “Alcina”

2015-07-09, GBOpera magazine

Dans cet opéra où les Airs se succèdent, Philippe Jaroussky déploie toutes les facettes de son talent. Il est un Ruggiero qui subit plus qu’il n’impose. Mais vocalement, il s’impose dès les premières notes. Sa voix toujours homogène aux belles prises de son est d’une pureté absolue avec un phrasé impeccable et de légers portamenti vocaux. C’est du grand art. Après des notes aux effets pyrotechniques, il se lance dans un mélancolique Verdi prati que Carestini avit refusé de chanter préférant des Airs plus exubérants. Ici, Philippe Jaroussky y est extraordinaire, faisant ressortir sa musicalité dans un phrasé toujours parfait. Respirant avec la Alcina, Aix, 2015musique sans jamais couper la ligne de chant il donne des aigus d’une belle clarté et d’une grande justesse. Avec ses vocalises brillantes et ses sonorités blanches avant d’attaquer le vibrato, il a un style et une fraîcheur de voix inimitables.

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2015-07-10 featured press

Altamusica – Aix 2015 (1) : La traversée des apparences

2015-07-10, Altamusica, by David Verdier

Le Ruggiero de Philippe Jaroussky trouve dans l’élégance du timbre adamantin ce qui manque encore à sa présence en scène. A-t-on entendu des Verdi prati taillés dans un albâtre d’une beauté aussi froide ?

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la Croix – Philippe Jaroussky, voix d’ange et artiste prudent dans les pas de Farinelli

2015-07-05, la croix, by Emanuelle Giuliani

Ruggiero trouve en Philippe Jaroussky un musicien d’une parfaite finesse – son air « Verdi prati » caresse tel un avant-goût du paradis – mais un comédien plus emprunté. D’autant que la mise en scène de Katie Mitchell lui assigne un rôle passif, loin de l’idée que l’on se fait d’un paladin des romans de l’Arioste dont l’opéra, créé par Haendel en 1735 à Londres, est directement inspiré.

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2015-07-04 featured press

Le Temps – Alcina de sexe et d’amour à Aix-en-Provence

2015-07-04, Le Temps, by Sylvie Bonier

Philippe Jaroussky est un Ruggiero royal, à la vocalise drue et souple. L’étendue de son registre se plie aussi docilement aux délicates lois haendeliennes que son sens de la ligne mélodique, la lumière de son chant et son ardeur vocale demeurent totalement personnelles.

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Le Monde – Alcina, « Alcina », un déchaînement de fureur, de plaisir et de passion

2015-07-03, Le Monde, by Marie-Aude Roux

Katie Mitchell n’est pas du genre à se laisser impressionner, fût-ce par Haendel et sa fascinante Alcina (créé en 1735 au Covent Garden de Londres) qui faisait ce 2 juillet l’ouverture du Festival d’Aix-en-Provence. Refusant les codes de l’opéra baroque, la metteuse en scène, talentueuse complice du fameux Written on Skin de George Benjamin, a préféré au merveilleux et à l’artifice la vérité mise à nue et l’envers du décor.

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2015-07-05_02 featured press

L’Express – Un “Alcina” érotique au Festival d’Aix-en-Provence

L’Express – Un “Alcina” érotique au Festival d’Aix-en-Provence

2015-07-03, L’Express, author uncredited

Les femmes tiennent la vedette dans “Alcina”, au point d’écraser quelque peu les hommes, et Katie Mitchell prend un malin plaisir à montrer Philippe Jaroussky manipulé comme une poupée qu’on habille et qu’on déshabille, pris en tenaille entre ses deux femmes, Alcina et Bradamante.

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2015-07-03 featured press

Destimed – Festival d’Aix-en-Provence : On a vu “Alcina” au Grand Théâtre de Provence : sortilèges, sexe et succès

2015-07-03, Destimed, by Michel Egea

La Morgane de Anna Prohaska est agréable, physiquement et vocalement, même si elle ne nous fait pas vraiment frémir. Idem pour le Ruggiero de Philippe Jaroussky. Il a la technique, la puissance, mais devrait donner un peu plus de personnalité à son rôle. Katie Mitchell lui a peut-être demandé de rester en retrait… C’est dommage car c’est un Ruggiero un tantinet falot qui nous est proposé. Surtout qu’à ses côtés, Patricia Petibon irradie dans le rôle-titre.

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