2015-02-10, RITMO
“Reconocido como el más grande contratenor de nuestros días, ‘la voz de cristal’ representa una nueva generación de cantantes no solo identificados con el Barroco”.
Source: Ritmo
A translation to Japanese can be found here.
Press Archive
2015-02-02, Bachtrack
Le couple royal formé par Amphion (Ph. Jaroussky) et Niobé (K. Gauvin) emportait la majorité des parties et occupait la scène. Le premier, investi par son rôle, rend à merveille l’image du souverain détaché des préoccupations du monde. D’une voix claire et forte, il soigne les appuis et les appogiatures, donne une intensité et un vibrato très progressif sur les tenues déjà posées, et fait preuve d’une endurance remarquable, étirant les phrases, respirant de façon imperceptible. L’atmosphère est vraiment suspensive, hors du temps, et la salle retient son souffle.
Source/Read more: Bachtrack
2015-02-02, Forum Opéra
Il faut le rappeler, Agostino Steffani existait déjà avant que Cecilia Bartoli s’en entiche. Sa musique, qui ressemble fort à du Monteverdi avec de vrais morceaux de Lully dedans, n’a pas attendu 2012 pour être enregistrée : ne serait-ce que dans le domaine de l’opéra, Alarico et Orlando generoso ont été commercialisés en 2006 et en 2009, par exemple. Quant à la résurrection scénique de ses œuvres, la Niobe a été donnée à Schwetzingen à l’été 2008 par Thomas Engelbrock à la tête du Baltasar-Neumann Ensemble, et le spectacle monté par Lukas Hemleb fut notamment repris en septembre 2010 à Covent Garden (voir compte rendu)”.
Source/Read more: Forum Opéra
2015-02-01, Ruhr Nachrichten
In der Oper “Niobe” von Agostino Steffani singt Anfione, der König von Theben, so schön, dass Zeus eine Mauer um die Stadt Theben wachsen lässt. Countertenor Philippe Jaroussky sang in der konzertanten Aufführung der frühbarocken Oper den Anfione am Samstagabend im Konzerthaus Dortmund so schön, dass er mit seinem engelsgleichen Männersopran auch Steine hätte erweichen können.
Source/Read more: Ruhr Nachrichten
2015-01-31, Online Musik Magazin
…”Betrachtet man die musikalische Struktur, müsste die Oper eigentlich nach Niobes Ehemann Anfione benannt sein, da ihm die bewegendsten Arien zukommen, was aber vielleicht auch an der Besetzung liegen mag, da Philippe Jaroussky als Anfione mit seinem Countertenor das Publikum mehrere Male zum Toben bringt. Während sich die Zuschauer beim ersten Duett zwischen Jaroussky und Karina Gauvin als Niobe “Sollievo del mio seno / Mia gioia, mio Diletto”, in dem sich die beiden ihre unverbrüchliche Liebe gestehen und Jaroussky warm strahlende Höhen fließen lässt, die von Gauvins kräftigem Sopran wunderbar eingebettet werden, noch zurückhält, gibt es bei den folgenden Arien kein Halten mehr”…
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2015-01-30, Warner Classics
As Philippe Jaroussky points out in his new video, Paul Verlaine’s poems have been more frequently set to music than any other French writer’s. The countertenor has drawn together a double album’s worth of French mélodies and chansons with words by his favourite poet to create a personal Verlaine ‘songbook’.
Source: Warner Classics
2015-01-30, ClassicToulouse
…”Une fois encore, Philippe Jaroussky domine son rôle et sa partition de la tête et des épaules. Quelle finesse, quelle palette expressive, quelle aisance et surtout quelle musicalité !”
Source/Read more: ClassicToulouse