2016-04-25, Bachtrack, by Anne-Laure Faubert
La première partie reste marquée par une présence orchestrale trop forte, au détriment des voix. Philippe Jaroussky peine à restituer la gravité du rôle de la Faute et ne convainc pas lors du « Trombe, che d’ogni intorno » où sa voix peine dans les aigus.
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Cette seconde partie marque également le « sacre du trombone », identifié à l’époque aux trompettes du Jugement dernier, qui donne une dimension universelle et solennelle à cet oratorio tandis que les trois allégories livrent une interprétation expressive, soutenue par une maîtrise des aigus pour Philippe Jaroussky et Valer Sabadus qui ravissent le public.
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