2015-07-12, Forum Opéra, by Laurent Bury
Philippe Jaroussky bénéficie en Ruggiero d’un rôle principalement axé sur la douceur, ce qui lui convient à merveille, avec un fort beau « Verdi prati » (mais quelle étrange idée, sur cet air, de faire danser un slow à Bradamante et Morgana) ; scéniquement, on l’a dit, l’antihéros n’est pas gâté, mais la mise en scène « féministe » – dixit Katie Mitchell – le veut dépassé par les événements. Dans ces conditions,
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