Press Archive
2015-06-05, Händel-Festspiele Halle on Facebook
“Tosender Applaus für Philippe Jaroussky – Page officielle zusammen mit Nathalie Stutzmann und dem Ensemble Orfeo 55 gestern in der ausverkauften Händel-Halle! Im Anschluss an das Konzert erhielt Philippe Jaroussky den Händel-Preis, vergeben durch die Stiftung Händel-Haus! Herzlichen Glückwunsch!”
2015-06-04, Nathalie Stutzmann on Facebook
“After Istanbul and Salzburg, Nathalie and Philippe Jaroussky – Page officielle are performing the 3rd and last concert of “Gods in mythology” at Halle tonight!” via Nathalie Stutzmann
2015-05-31, Philippe Jaroussky on Facebook
“Je profite de mon premier jour de pause depuis 15 jours! Endroit magique!
Enjoying my first day off for 2 weeks! Magic place! – à Îles du Frioul.”
via Philippe Jaroussky – Page officielle
2015-05-26, Salzburger Nachrichten
“Und wie er aus “heroischen” Arien von Händel voll unterschiedlicher Stimmungen zwischen Kampf und Schmerz, Trauer, Klage und Naturbeschwörung zusammen mit dem jungen französischen Originalklangensemble “Orfeo 55″ in einer dramaturgisch klugen Zusammenstellung völlig unprätentiös ein Opern-Pasticcio auf die imaginäre Szene stellt, werden daraus – wie am Sonntag im sogenannten Haus für Mozart – zwei Stunden reinster Wonne.” […]
2015-05-15, Preis der deutschen Schallplattenkritik, by Susanne Benda
Unter den Sängern sorgen Karina Gauvin mit ihrer facettenreichen Gestaltung der Titelpartie, Philippe Jaroussky als überzeugend amtsmüder Anfione sowie Amanda Forsythe mit ihrem strahlend-beweglichen Sopran für hohe interpretatorische Empathie. Allein die Todesarien des Königspaares sind, mit hörbar versteinerten Tränen und tropfendem Herzblut, Wunderwerke prallbarocker Bildlichkeit. (Für die Jury: Susanne Benda)
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2015-05-07, Le Temps (Ch)
“Philippe Jaroussky dans la mélodie française? Le contre-ténor français – que l’on associe au répertoire baroque – cultive ce jardin secret depuis plusieurs années déjà. Un premier album, Opium, était sorti en 2009. Passé l’effet de surprise, on a commencé à se faire à l’idée d’un contre-ténor s’emparant d’un genre qui n’est pas expressément destiné à cette voix-là.” […]
via LeTemps.ch
2015-05-02, Le Temps (Ch)
“La mélodie française, c’est tout un art; l’art de dire, l’art de chanter. Epris de la langue française, Philippe Jaroussky consacre un double album intitulé Green à des mélodies sur des poèmes de Verlaine.
Le chanteur est une star parmi les contre-ténors, ces voix aiguës d’hommes très à la mode. Il s’est fait une spécialité du répertoire baroque et des airs virtuoses pour castrats. De temps à autre, il emprunte des chemins de traverse. Le voici donc sur le terrain de la mélodie française, à l’occasion d’un récital donné mardi prochain avec le pianiste Jérôme Ducros, à l’abbaye de Bonmont.” […]
via LeTemps.ch
2015-05-01, Tribune de Genève
“Avec une poignée de chanteurs dont la voix semble venue de nulle part, Philippe Jaroussky a mis les tessitures haut perchées et masculines au centre du paysage lyrique. Ses incursions dans le répertoire pour castrats, notamment, ont marqué les esprits et fait sortir la figure du contre-ténor des cabinets de curiosités. Aujourd’hui, le Français ouvre une nouvelle page: après l’album Opium paru en 2009, il poursuit sa plongée dans la mélodie française avec un double CD, Green, qui fait la part belle à Verlaine. Son récital sur la scène austère et mystérieuse de l’abbaye cistercienne de Bonmont est une occasion rêvée pour savourer la richesse de cette musique.” […]
via tdg.ch
2015-05-01, Presto Classical
“French song has always been a bit of a passion of mine – like many people I first got to know this repertoire through recordings by the voluptuous-voiced Régine Crespin and Jessye Norman, and further down the line by singers like Véronique Gens and Susan Graham – but I remember having a real epiphany around five years ago when I came across a new disc called Opium, the first time I’d ever heard a countertenor (and one noted for the purity and sweetness of his tone at that) tackling the opulent, heady music of composers like Massenet, Saint-Saëns and Reynaldo Hahn.” […]
via Presto Classical
