2015-02-23, La Libération
Jaroussky, mi-désinvolte, mi-concentré, lui, frôle l’opérette (Qui je suis…, Chabrier), touche les tréfonds (Prison, Fauré) et jette, brillantissime, un voile imperceptible sur la dernière syllabe du «monotone», celui de la langueur (Chanson d’automne, Hahn).
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