2019-04-04, Klara, by Els Van Hoof
Op deze cd vind je een mooie balans van uitbundig zang- en musiceerplezier en oprechte ontroering. Top! […]
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2019-04-04, Klara, by Els Van Hoof
Op deze cd vind je een mooie balans van uitbundig zang- en musiceerplezier en oprechte ontroering. Top! […]
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2017-10-25, Baroquiades, by Marina Somers
Longuement ovationnés à l’issue de leur prestation, les musiciens gratifient le public par trois rappels. Le premier est l’air pathétique Qual nave smarrita issu de Radamisto, dans lequel ce dernier pleure son destin, et que le contre-ténor interprète avec tendresse. Au deuxième rappel, l’air Si, la voglio e l’otterò (je la veux et je l’aurai), de Serse, Philippe Jarouskky apporte sa traditionnelle note d’humour avec une interprétation dramatique, suite à laquelle il feint son emportement et quitte la salle. Le troisième rappel Ombra mai fu – sans doute un des airs baroques les plus chantés – dans lequel il excelle encore, est également issu de Serse et conclut ce concert d’une beauté poignante et d’une extraordinaire qualité vocale et musicale. […]
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2017-02-04, Res Musica, by Emilie Vanderhulst
Le chanteur sait faire respirer la partition. Une lumière douce brille par éclats dans les notes longues de certaines syllabes. Il a saisi la magie de cette écriture de Bach où la musique semble souvent jaillir du silence. Les ornementations sont subtiles. Violoniste de formation, on a parfois l’impression qu’il use de son legato avec la finesse d’un archet. Du reste, reconnaissons-le, il semble qu’au bout du compte, si elle tient de la technique aboutie du chanteur, une part de ce qui nous touche tant chez Jaroussky réside dans le mystère, la sensibilité intrinsèque de l’artiste.
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2017-01-23, Le Soir, by Serge Martin
“Spécialiste du baroque italien et français, Philippe Jaroussky se lance dans l’univers allemand. Un disque et une tournée consacrent ce tournant dans sa carrière.”
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2013-10-16, Le Soir, by Serge Martin
Comment décririez-vous Farinelli ?
C’est d’abord un immense musicien aux ressources virtuoses diaboliques. Il s’est certes abandonné à des excès de pyrotechnie vocale. Je n’ai choisi que des airs qui, au-delà de leurs difficultés, apportaient quelque chose aux personnages. Mais j’ai aussi voulu faire sentir l’amour et le respect profond que Porpora témoignait pour son élève qu’il connaissait mieux que quiconque et pour lequel il écrivit quelques-unes de ses pages les plus poignantes.
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