2016-01-04, Philippe Jaroussky on Facebook
Tous mes voeux pour cette nouvelle année et à bientôt pour de nombreux concerts! Nouvelle photo par Simon Fowler. […]
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Press Archive
2016-01-04, Philippe Jaroussky on Facebook
Tous mes voeux pour cette nouvelle année et à bientôt pour de nombreux concerts! Nouvelle photo par Simon Fowler. […]
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2015-12-22, Warner Classics on Facebook
Philippe Jaroussky and the Freiburger Barockorchester for Carols4Cancer, “Brich an, o schönes Morgenlicht”
Warner Classics & Erato
A very special present from the Freiburger Barockorchester, Philippe Jaroussky – Page officielle and a Christmas tree: Bach‘s ‘Brich an, oh schönes Morgenlicht’, from the Christmas Oratorio. If you enjoyed this performance, please share it! And give generously to a worthy cause, #Carols4Cancer: http://www.justgiving.com/
2015-12-10, Getty Images
French singer Philippe Jaroussky performs during the French TV show ‘La Grande Librairie – Si on lisait’ on November 16, 2015 in Paris. AFP PHOTO / LOIC VENANCE
2015-11-16, Philippe Jaroussky on Facebook
Chers tous, après ces moments de grande tristesse, la solidarité est plus que jamais une nécessité! venez nombreux le 27 novembre en l’église Saint Pierre de Neuilly soutenir l’association Iris dont je suis le parrain.
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2015-11-11, Classiquenews.com, by Benjamin Ballifh
Parfaitement employé au regard de son caractère et de son format vocal, le contre ténor Philippe Jaroussky compose un Arsace totalement convaincant dont chaque air nuance le tempérament épris d’un amant officiel (favori de Partenope) rattrapé par son premier amour (pour Rosmira) ; chacun des tableaux qui révèlent peu à peu sa lente implosion intérieure, éclaire l’inclination naturelle de son caractère pour la tendresse : langueur murmurée, douceur extatique idéale pour sa voix peu puissante qui tient la note dans le medium riche et onctueux pour “Ch’io parta” (plage11), climat de langueur et de renoncement d’une âme atteinte magnifiquement approfondie encore dans la suite des plages 16 et 17 (“Ma quai note di mesti lamenti“), c’est à dire le tableau du sommeil où éblouit la juste coloration instrumentale – flûte, théorbe, cordes : véritable palpitation introspective d’une grave sincérité, … notons l’exceptionnelle profondeur du geste du chef et de ses instrumentistes dans l’expression de cette mise en sommeil qui marque une pause sereine dans un tempête affective éreintante.
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