Source/Read more: [x]
Press Archive
2015-10-23, Res Musica, by Alain Attyasse
Philippe Jaroussky est absolument éblouissant, comme l’on pouvait s’y attendre, de par son métier solide et son expérience aguerrie de ce répertoire. Les airs vifs sont parfaitement en place avec des vocalises nettes, précises (« Kind Heaven, if virtue be thy care) et la messa di voce véritablement radieuse ( « Deeds of kindness to diplay », « The raptur’d soul »).
Source/Read more: [x]
2015-10-21, Opera Today, by Frank Cadenhead
The Roman officer who tries to save Theodora, Didymus, was sung by the celebrated counter-tenor Philippe Jaroussky. While the voice seemed to have a bit less impact that in the past in this same theater, it retains the superb grace and beauty which took him to the top. This and his instinctive theatrical sense make him appealing as the Roman officer who questions the authoritarian state.
Source/Read more: [x]
2015-10-16, ARTE Concert
Dernière actualisation 20.10.2015 – Filmé le 16.10.2015 – (228 minutes)
Cette production au Théâtre des Champs-Elysées n’est pas anodine puisque c’est la toute première fois que Theodora est joué à Paris. Pour cet événement, l’excellence est au rendez-vous aussi bien sur scène que dans la fosse d’orchestre : les voix de Katherine Watson, Stéphanie d’Oustrac et Philippe Jarousskys’ajoutent aux notes des Arts Florissants, dirigé par William Christie. Le tout est sublimé par une mise en scène signée Stephen Langridge, nouveau directeur de l’Opéra de Göteborg.
Source/Read more/Watch stream: [x]
2015-10-14, Le Monde, by Marie-Aude Roux
Katherine Watson campe une Theodora émouvante et sans hiératisme, à la ligne noble, notamment dans les airs lents, tel « When sunk in anguish and despair ». Philippe Jaroussky n’avait plus chanté sous la direction de Bill Christie depuis le fameux Il Sant’Alessio de Landi de 2007. S’il semble un rien sur la réserve au premier air, il se reprend vite et offre à l’attachant pendant masculin de Theodora les touchantes vertus qui prédisposent au sacrifice. Son « Kind Heaven, if virtue be thy care » est un modèle de luminosité ardente et de don de soi. A ses côtés, le Septimius de Kresimir Spicer ne démérite pas, malgré quelques anicroches vocales rattrapées par la suavité de pianissimos magiques (« From virtue springs each gen’rous deed »).
Source/Read more: [x]
2015-10-14, Rue du Théâtre, by Noël Tinazzi
William Christie dirige tout son monde avec une aisance et une souplesse admirables. Jeune et soudée, l’équipe musicale présente un quintette de chanteurs de haut vol : Katherine Watson, très sensible soprano, campe une émouvante Theodora, la mezzo Stéphanie d’Oustrac une Irène nuancée, le contre-ténor Philippe Jaroussky un Didyme plein de vaillance, le ténor Kresimir Spicer un Septime très physique, et la basse Callum Thorpe un Valens impressionnant.
Source/Read more: [x]
2015-10-12/13, ARTE, by Lionel Jullien
Featurette about Theodora, part 1/5
Episode 1 : De la découverte du plateau
Episode 2 : De l’importance des accessoires
Episode 3 : De quelques points de mise en scène
Episode 4 : Des instructions du Chef
Episode 5 : Des impressions à la veille de la première
Source/Read more/Watch videos: [x]
2015-10-13, Francetv info, Culturebox, by Lorenzo Ciavarini Azzi
[…] : outre Philippe Jaroussky en Didyme, qui excelle dans les aigus autant que dans les graves et semble littéralement transporté par la dimension mystique du chant. , on est impressionné par la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac qui porte avec détermination le rôle subtile d’Irène, à la fois femme chrétienne, soumise à la force de sa foi, et fer de lance de la résistance face à l’autorité romaine.Source/Read more: [x]
2015-11-05, France Inter, by Kathleen Evin
Le contre-ténor Philippe Jaroussky pour son dernier enregistrement Partenope de Handel disponible dès demain chez Erato et son concert le 13 janvier au Théâtre des Champs Elysées