2017-11-07, Philippe Jaroussky on Facebook
Si heureux de chanter ici pour la sixième fois cette année !
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Press Archive
2017-11-07, Philippe Jaroussky on Facebook
Si heureux de chanter ici pour la sixième fois cette année !
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2017-11-02, RTS, by Sacha Unger
Magnétique, 02.11.2017, 17h06
Philippe Jaroussky, le prince des contre-ténors
A 39 ans, Philippe Jaroussky est une star du baroque. Le public accourt pour lʹécouter dans les plus grandes salles dʹEurope. Julian Sykes a rencontré le contre-ténor français à lʹoccasion dʹun concert donné le 20 novembre 2017 au Victoria Hall de Genève. Il a pu assister aux répétitions, questionné le chanteur sur sa manière de travailler avec ses musiciens, lʹEnsemble Artaserse, et sur son dernier album consacré à Händel (“The Händel Album”) paru chez Erato-Warner.
Un portrait réalisé par Sacha Unger.
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2017-10-28, Le Figaro, by Thierry Hillériteau
Au théâtre des Champs-Élysées, le contre-ténor français revient à ses premières amours : Haendel. Sauf que le compositeur est ici abordé par son versant le plus méconnu, au fil de plusieurs des rôles dédiés au castrat senesino.
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2017-10-17, Le Parnasse Musical
Handel l’a développé. Jaroussky l’a perfectionné. […]
Tous les drames de la vie et ses triomphes dans un seul et unique disque. Gloria alle Handel! […]
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2017-10-27, On Magazine, by Jean-Pierre Robert
C’est que le contre-ténor français, qui se coule dans le schéma habituel en pareille circonstance d’alternance de morceaux lyriques et virtuoses, privilégie l’intériorité, où chaque phrase fait sens. Ce qui n’est pas sans rappeler la manière de Cecilia Bartoli. Ainsi de la caractérisation du tragique désespoir dans l’aria tirée de Siroe ou dans la cavatine pastorale d’Amadigi di Gaula, ici avec deux flûtes obligées, évoluant essentiellement dans le registre piano en une cantilène souple et dense. La flexibilité de la ligne de chant, on l’apprécie encore dans le grand soliloque émotionnel de la scène de suicide de Tolomeo, traduisant un homme vacillant, alors que les cordes évoquent les faibles battements de cœur après que le personnage ait absorbé le poison mortel, et ce jusque dans l’expression des derniers soupirs pianissimo. […]
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2017-10-25, Baroquiades, by Marina Somers
Longuement ovationnés à l’issue de leur prestation, les musiciens gratifient le public par trois rappels. Le premier est l’air pathétique Qual nave smarrita issu de Radamisto, dans lequel ce dernier pleure son destin, et que le contre-ténor interprète avec tendresse. Au deuxième rappel, l’air Si, la voglio e l’otterò (je la veux et je l’aurai), de Serse, Philippe Jarouskky apporte sa traditionnelle note d’humour avec une interprétation dramatique, suite à laquelle il feint son emportement et quitte la salle. Le troisième rappel Ombra mai fu – sans doute un des airs baroques les plus chantés – dans lequel il excelle encore, est également issu de Serse et conclut ce concert d’une beauté poignante et d’une extraordinaire qualité vocale et musicale. […]
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2017-10-22, La Dépêche, interview by Sébastien Dubos
Vous avez créé votre académie, c’est une manière de tendre la main à des jeunes qui ne pourraient pas accéder à cet univers ?
Il y a deux projets. Le projet plus social, pour apporter la musique classique dans des foyers qui n’auraient pas forcément pensé ou qui n’en auraient pas les moyens. ça, c’est le projet pour les enfants. C’est la première cette année, on a ouvert la classe au violon, violoncelle et piano. On a 23 enfants qui commencent totalement un de ces trois instruments. Tout est gratuit, on leur prête l’instrument et on leur offre deux heures par semaine de cours. L’idée est qu’ils progressent rapidement. De l’autre côté, un volet plus classique, quelque chose de pré-professionnel l’idée est d’aider les jeunes à rentrer dans la vie active après les études. Pour les musiciens comme pour les autres, l’arrivée sur le marché du travail, c’est un peu un parcours de combattant, notre idée est de leur fournir de l’expérience, de les aider à entrer de plain-pied dans ce métier de musicien. Pendant un an on leur donne aussi une certaine philosophie de ce métier. […]
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2017-10-16, Le Figaro, by Thierry Hillériteau
Avec lui, le doute n’est pas permis. Non que la virtuosité vocale et la pyrotechnie soient totalement bannies de l’album. Certains airs – à l’instar de l’impressionnant Agitato da fiere tempeste, de Riccardo Primo, ou de l’ébouriffant Vile, se mi dai vita, de Radamisto – rappellent que le contre-ténor est actuellement en pleine possession de ses moyens vocaux, tant dans l’aigu que dans le médium – même s’il s’est permis, comme c’était monnaie courante à l’époque, quelques transpositions. Une maîtrise qui transparaît d’ailleurs tout autant dans ses reprises da capo, souvent épurées et éthérées. […]
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