Press Archive
2017-12-05, Kultur-port, by Hans-Juergen Fink
Jaroussky braucht keinen Superstar-Bonus, seine Stimme betört immer wieder bis weit hinauf in die Sopranlage, durch fein dosierten Umgang mit dem Vibrato, durch geradezu vorbildlich klare Artikulation und durch eine gehörige Portion sternflammendes Drama, wenn es sein muss. Ein Muss für Händel-Fans und alle, die es werden wollen. […]
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2017-11-27, Classic Toulouse, by Robert Pénavayre
Ceci étant, ce présent album, enregistré en 2017, nous propose l’un des récitals les plus magistraux de cet excellent artiste dont on ne se lasse pas d’entendre le timbre à nul autre pareil, une véritable voix « angélique », d’une pureté absolue. […]
Le génie de Haendel à son acmé lorsqu’il est servi par de pareils interprètes. […]
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2017-11-24, NDR, by Marcus Stäbler
Philippe Jaroussky hat genau den richtigen Moment für sein Händel-Album erwischt. Er vereint Hingabe, stimmliche Sensibilität und künstlerische Reife und bestärkt mit der Aufnahme seinen Ruf als herausragender Countertenor.
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2017-11-17, Hamburger Abendblatt, dpa
Stets und zu recht wird der mehrfach mit “Echos” und “Victories de la Musique” überhäufte Jaroussky gepriesen, wie einst in der WELT als “der nach wie vor am Schönsten von allen singende Countertenor”, und die “Zeit” feierte seine göttliche Stimme, die jubelnd in die Höhe fahren und sinnliches Licht ausgießen kann. Wer den sympathischen Franzosen einmal singen gehört hat, kommt offensichtlich aus dem Schwärmen nicht mehr heraus. […]
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2017-11-10, stereophile, by Jason Victor Serinus
“Exquisite” is not a word to be invoked lightly. In the history of vocal music on record, there has been only one singer to earn that appellation—soprano Maggie Teyte, Debussy’s second Melisande, whom the great Polish tenor Jean de Reszke dubbed “L’Exquise.” To that exalted category must now be added countertenor Philippe Jaroussky, whose latest recording for Warner, The Handel Album, contains some of the most exquisite singing I have ever been privileged to hear. […]
The Handel Album has certainly earned its rightful place in my next “Records to Die For” listing. […]
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2017-11-07, ludwigvan.com, by Frédéric Cardin
CRITIQUE | Philippe Jaroussky : un Händel d’or et surtout de soie
Par Frédéric Cardin le 7 novembre, 2017
C’est dans ce magnifique spleen avant l’heure, version germano-anglaise baroque, que nous fait plonger Philippe Jaroussky. Cette voix onctueuse, vibrante de lumière, mais habilement tempérée par le velouté d’une enveloppe délicatement perlée peut être resplendissante de lumineuses dorures dans les triples saltos des passages ultra-turbulents. Ici, cependant, l’or fait place à la soie, tant par la finesse de l’interprétation que par la grande délicatesse de ces partitions admirables. […]
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2017-11-05, Badische Zeitung, by Georg Rudiger
Der Franzose berührt aber gerade durch die bewusste Zurücknahme. “Sussurate, onde vezzose” (Plätschert, anmutige Wellen) aus “Amadigi di Gaula” ist ein schlichter Legatotraum. Der oft zum Schmachtfetzen verkommene Opernhit “Ombra, cara” (Teurer Schatten) aus “Radamisto” wird in seiner Interpretation zu einer behutsamen Innenschau mit schweren Seufzern im Orchester. Bei allem glitzernden Koloraturenfeuerwerk sind es die intimen Momente, die dieses pralle, über 70-minütige Händel-Album so kostbar machen. […]
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2017-11-02, concerti, by Eckhard Weber
Sehr berührend, wirkliches Opernglück! […]
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2017-10-17, Le Parnasse Musical
Handel l’a développé. Jaroussky l’a perfectionné. […]
Tous les drames de la vie et ses triomphes dans un seul et unique disque. Gloria alle Handel! […]
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2017-10-27, On Magazine, by Jean-Pierre Robert
C’est que le contre-ténor français, qui se coule dans le schéma habituel en pareille circonstance d’alternance de morceaux lyriques et virtuoses, privilégie l’intériorité, où chaque phrase fait sens. Ce qui n’est pas sans rappeler la manière de Cecilia Bartoli. Ainsi de la caractérisation du tragique désespoir dans l’aria tirée de Siroe ou dans la cavatine pastorale d’Amadigi di Gaula, ici avec deux flûtes obligées, évoluant essentiellement dans le registre piano en une cantilène souple et dense. La flexibilité de la ligne de chant, on l’apprécie encore dans le grand soliloque émotionnel de la scène de suicide de Tolomeo, traduisant un homme vacillant, alors que les cordes évoquent les faibles battements de cœur après que le personnage ait absorbé le poison mortel, et ce jusque dans l’expression des derniers soupirs pianissimo. […]
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