2015-11-03_02 featured press

The New York Times – Review: ‘Theodora,’ Once a Handel Flop, Is Celebrated Anew

2015-11-03, The New York Times, by Anthony Tommasini

Handel doesn’t give us some Christian dogmatist, but rather a liberal-minded Roman officer who advocates tolerance, plaintively sung by Mr. Jaroussky. There may be countertenors with brighter, bigger voices, but few with such melting sound and elegance.

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2015-10-23 featured press

Res Musica – Theodora avec Stéphanie d’Oustrac et Philippe Jaroussky : Divin Crépuscule

2015-10-23, Res Musica, by Alain Attyasse

Philippe Jaroussky est absolument éblouissant, comme l’on pouvait s’y attendre, de par son métier solide et son expérience aguerrie de ce répertoire. Les airs vifs sont parfaitement en place avec des vocalises nettes, précises (« Kind Heaven, if virtue be thy care) et la messa di voce véritablement radieuse ( « Deeds of kindness to diplay », « The raptur’d soul »).

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2015-10-21 featured press

Opera Today – Theodora, Théâtre des Champs-Élysées

2015-10-21, Opera Today, by Frank Cadenhead

The Roman officer who tries to save Theodora, Didymus, was sung by the celebrated counter-tenor Philippe Jaroussky. While the voice seemed to have a bit less impact that in the past in this same theater, it retains the superb grace and beauty which took him to the top. This and his instinctive theatrical sense make him appealing as the Roman officer who questions the authoritarian state.

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2015-10-14 featured press

Le Monde – William Christie bénit la « Theodora » d’Haendel

2015-10-14, Le Monde, by Marie-Aude Roux

Philippe Jaroussky, lumineux

Katherine Watson campe une Theodora émouvante et sans hiératisme, à la ligne noble, notamment dans les airs lents, tel « When sunk in anguish and despair ». Philippe Jaroussky n’avait plus chanté sous la direction de Bill Christie depuis le fameux Il Sant’Alessio de Landi de 2007. S’il semble un rien sur la réserve au premier air, il se reprend vite et offre à l’attachant pendant masculin de Theodora les touchantes vertus qui prédisposent au sacrifice. Son « Kind Heaven, if virtue be thy care » est un modèle de luminosité ardente et de don de soi. A ses côtés, le Septimius de Kresimir Spicer ne démérite pas, malgré quelques anicroches vocales rattrapées par la suavité de pianissimos magiques (« From virtue springs each gen’rous deed »).

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Rue du Théâtre – Un oratorio tout en brio

2015-10-14, Rue du Théâtre, by Noël Tinazzi

William Christie dirige tout son monde avec une aisance et une souplesse admirables. Jeune et soudée, l’équipe musicale présente un quintette de chanteurs de haut vol : Katherine Watson, très sensible soprano, campe une émouvante Theodora, la mezzo Stéphanie d’Oustrac une Irène nuancée, le contre-ténor Philippe Jaroussky un Didyme plein de vaillance, le ténor Kresimir Spicer un Septime très physique, et la basse Callum Thorpe un Valens impressionnant.

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2015-10-13 featured press

Francetv info – “Theodora” de Haendel : les cinq raisons d’un coup de cœur

2015-10-13, Francetv info, Culturebox, by Lorenzo Ciavarini Azzi

[…] : outre Philippe Jaroussky en Didyme, qui excelle dans les aigus autant que dans les graves et semble littéralement transporté par la dimension mystique du chant. , on est impressionné par la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac qui porte avec détermination le rôle subtile d’Irène, à la fois femme chrétienne, soumise à la force de sa foi, et fer de lance de la résistance face à l’autorité romaine.

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2015-10-12_03 featured press

Operapoint – THEODORA – Paris, Théâtre des Champs-Élysées

2015-10-12, Operapoint, by Zenner

Philippe Jaroussky (Didymus) spielt, wie man es bei ihm gewöhnt ist, auf seinen Stimmbändern wie ein großer Virtuose auf einem Instrument. Doch die Magie dieser hervorragenden Kontratenorstimme kommt hier nur selten voll zur Geltung, noch am ehesten in Sweet rose and lily (2. Akt, 5. Szene). Man hat nicht das Gefühl, daß er sich in seiner Rolle ganz wohl fühlt.

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2015-10-12_06 featured press

Forum Opéra – Une hagiographie qui manque d’esprit

2015-10-12, Forum Opera, by Guillaume Saintagne

Philippe Jaroussky sillonne le même angélisme, malgré l’appui de certains beaux graves dont on le croyait détourné ; il ne brille que dans l’aigu, le medium semblant affligé d’une sourdine, et le personnage n’impressionne que dans les points d’orgue (magnifiquement tenus, notamment dans « The raptured soul »). Ici encore c’est techniquement quasi-irréprochable, mais pour ce rôle, on aurait préféré un contre-ténor avec plus de corps et de sensualité afin que son « Sweet rose and lily » sonne moins enfantin et éthéré.

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2015-10-12 featured press

Le Figaro – La beauté glacée de Theodora

2015-10-12, Le Figaro, by Christian Merlin

LA CHRONIQUE DE CHRISTIAN MERLIN - Avant-dernière œuvre de Georg Haendel, cet oratorio est donné pour la première fois à Paris au Théâtre des Champs-Élysées. Sous la direction de William Christie, il s’avère hélas bien trop désincarné.

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2015-10-11_04 featured press

We Left At The Interval – Händel – Theodora

2015-10-11, We Left At The Interval

The evening gave evidence, once more, that it’s no use judging voices from recordings. I’d never been seduced by what I heard of Jaroussky so far, but discovered that, live, he has a very engaging, seductive timbre as well as an engaged and engaging presence on stage.

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