2015-10-16 featured press

ARTE Concert – Theodora de Haendel au Théâtre des Champs-Elysées

2015-10-16, ARTE Concert

Dernière actualisation 20.10.2015 – Filmé le 16.10.2015 – (228 minutes)

Cette production au Théâtre des Champs-Elysées n’est pas anodine puisque c’est la toute première fois que Theodora est joué à Paris. Pour cet événement, l’excellence est au rendez-vous aussi bien sur scène que dans la fosse d’orchestre : les voix de Katherine Watson, Stéphanie d’Oustrac et Philippe Jarousskys’ajoutent aux notes des Arts Florissants, dirigé par William Christie. Le tout est sublimé par une mise en scène signée Stephen Langridge, nouveau directeur de l’Opéra de Göteborg.

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2015-10-14 featured press

Le Monde – William Christie bénit la « Theodora » d’Haendel

2015-10-14, Le Monde, by Marie-Aude Roux

Philippe Jaroussky, lumineux

Katherine Watson campe une Theodora émouvante et sans hiératisme, à la ligne noble, notamment dans les airs lents, tel « When sunk in anguish and despair ». Philippe Jaroussky n’avait plus chanté sous la direction de Bill Christie depuis le fameux Il Sant’Alessio de Landi de 2007. S’il semble un rien sur la réserve au premier air, il se reprend vite et offre à l’attachant pendant masculin de Theodora les touchantes vertus qui prédisposent au sacrifice. Son « Kind Heaven, if virtue be thy care » est un modèle de luminosité ardente et de don de soi. A ses côtés, le Septimius de Kresimir Spicer ne démérite pas, malgré quelques anicroches vocales rattrapées par la suavité de pianissimos magiques (« From virtue springs each gen’rous deed »).

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2015-10-14_02 featured press

Rue du Théâtre – Un oratorio tout en brio

2015-10-14, Rue du Théâtre, by Noël Tinazzi

William Christie dirige tout son monde avec une aisance et une souplesse admirables. Jeune et soudée, l’équipe musicale présente un quintette de chanteurs de haut vol : Katherine Watson, très sensible soprano, campe une émouvante Theodora, la mezzo Stéphanie d’Oustrac une Irène nuancée, le contre-ténor Philippe Jaroussky un Didyme plein de vaillance, le ténor Kresimir Spicer un Septime très physique, et la basse Callum Thorpe un Valens impressionnant.

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ARTE – Une semaine avec Didymus/Philippe Jaroussky, Episode 1, 2, 3, 4, and 5

2015-10-12/13, ARTE, by Lionel Jullien

Featurette about Theodora, part 1/5

Une semaine avec Didymus/Philippe Jaroussky

Episode 1 : De la découverte du plateau
Episode 2 : De l’importance des accessoires
Episode 3 : De quelques points de mise en scène
Episode 4 : Des instructions du Chef
Episode 5 :  Des impressions à la veille de la première

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2015-10-13 featured press

Francetv info – “Theodora” de Haendel : les cinq raisons d’un coup de cœur

2015-10-13, Francetv info, Culturebox, by Lorenzo Ciavarini Azzi

[…] : outre Philippe Jaroussky en Didyme, qui excelle dans les aigus autant que dans les graves et semble littéralement transporté par la dimension mystique du chant. , on est impressionné par la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac qui porte avec détermination le rôle subtile d’Irène, à la fois femme chrétienne, soumise à la force de sa foi, et fer de lance de la résistance face à l’autorité romaine.

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2015-10-12_03 featured press

Operapoint – THEODORA – Paris, Théâtre des Champs-Élysées

2015-10-12, Operapoint, by Zenner

Philippe Jaroussky (Didymus) spielt, wie man es bei ihm gewöhnt ist, auf seinen Stimmbändern wie ein großer Virtuose auf einem Instrument. Doch die Magie dieser hervorragenden Kontratenorstimme kommt hier nur selten voll zur Geltung, noch am ehesten in Sweet rose and lily (2. Akt, 5. Szene). Man hat nicht das Gefühl, daß er sich in seiner Rolle ganz wohl fühlt.

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Forum Opéra – Une hagiographie qui manque d’esprit

2015-10-12, Forum Opera, by Guillaume Saintagne

Philippe Jaroussky sillonne le même angélisme, malgré l’appui de certains beaux graves dont on le croyait détourné ; il ne brille que dans l’aigu, le medium semblant affligé d’une sourdine, et le personnage n’impressionne que dans les points d’orgue (magnifiquement tenus, notamment dans « The raptured soul »). Ici encore c’est techniquement quasi-irréprochable, mais pour ce rôle, on aurait préféré un contre-ténor avec plus de corps et de sensualité afin que son « Sweet rose and lily » sonne moins enfantin et éthéré.

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2015-10-12 featured press

Le Figaro – La beauté glacée de Theodora

2015-10-12, Le Figaro, by Christian Merlin

LA CHRONIQUE DE CHRISTIAN MERLIN - Avant-dernière œuvre de Georg Haendel, cet oratorio est donné pour la première fois à Paris au Théâtre des Champs-Élysées. Sous la direction de William Christie, il s’avère hélas bien trop désincarné.

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ARTE – Une semaine avec Didymus/Philippe Jaroussky, Episode 1

2015-10-12, ARTE, by Lionel Jullien

Featurette about Theodora, part 1/5

Une semaine avec Didymus/Philippe Jaroussky

Episode 1 : De la découverte du plateau

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2015-10-11_04 featured press

We Left At The Interval – Händel – Theodora

2015-10-11, We Left At The Interval

The evening gave evidence, once more, that it’s no use judging voices from recordings. I’d never been seduced by what I heard of Jaroussky so far, but discovered that, live, he has a very engaging, seductive timbre as well as an engaged and engaging presence on stage.

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